Voilà plus 5 décennies que j’appuie régulièrement sur un déclencheur pour (essayer de) faire de la photo…
Mon premier appareil était un RevueFlex AC1 avec un 55mm, pas d’autofocus, ni de mesure spot ou multizone, même pas de collimateur….
Le format 6*6 je l’ai découvert avec un Lubitel 2 et une cellule Leningrad 4…Après quelques bobines de film 120, j’avais compris ce qu’était un diaphragme, une vitesse, la sensibilité du film et la relation entre les trois…
Je me demande comment il était possible de faire des photos “exploitables” sur un meeting d’athlétisme sans le suivi 3D de l’autofocus ou sur un concert rock lorsqu’on poussait les films noir et blanc à 1600 iso sans pouvoir aller jusqu’à 25000 iso…
De nos jours avec un boitier numérique, il n’est pas forcément plus facile de faire de bonnes photos mais l’électronique des boitiers et le post/traitement informatique des photos permettent des choses que l’on osait même pas imaginer en argentique...
Aujourd'hui j'utilise des boitiers Nikon et des objectifs Nikkor et Sigma.
Je n’ai pas vraiment de domaine de prédilection, j’aime autant faire de la photo macro/proxy en rampant dans le sous-bois que de faire du paysage en pose longue avec un trépied ou photographier à tout va lors d’un meeting d’athlétisme…

Alain Groo
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